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Yakuza/Like a Dragon : une saga pouvant perdurer

Je suis très heureux de vous retrouver aujourd’hui pour un nouveau rendez-vous gaming que je prépare depuis très longtemps. En effet, depuis le départ, il y avait certains sujets que je désirais aborder au vu de tout ce qu’il y a à dire dessus. Et ce samedi, je me suis dit que ce serait l’occasion parfaite d’en parler étant donné que l’on se rapproche de la sortie du nouvel opus de cette saga. Je parle bien sûr de la licence Yakuza/Like a Dragon qui a vraiment connu un assez gros bouleversement étant donné l’intérêt grandissant des joueurs pour la série. Mais si ce titre est de plus en plus ancré sur le devant de la scène, il est important de regarder en arrière pour voir que cette saga ne date pas d’hier. En fait, cela fait très longtemps que le studio a donné vie à cette franchise qui s’est déclinée de bien des façons au fil du temps. Une odyssée unique qui fut, pendant très longtemps, considérée comme de niche avant de finalement trouver un public de plus en plus large et captivé. La suivant depuis quasiment ses débuts, je suis heureux de voir l’aura qui se dégage maintenant de celle-ci et il est grand temps de voir en quoi cette licence vidéoludique est exceptionnelle. Une œuvre comme il en existe très peu.

Une licence de niche qui a pris son envol

YakuzaAvant toute chose, il est important de comprendre que la saga Yakuza ne date pas d’hier. En effet, le tout premier jeu est sorti en 2005 et l’on fêtera donc bientôt les 20 ans de la franchise. Et surtout, en comptant les spin-offs, remakes et autres titres s’axant sur le même modèle au sein du studio, nous faisons face à une licence qui compte pas moins de 21 jeux avec Infinite Wealth qui sort fin janvier. On peut donc dire que cet univers a été particulièrement prolifique en aventures de toutes sortes. Mais on peut donc se demander comment une saga qui compte autant d’épopées vidéoludiques n’a vraiment brillé au grand jour qu’il y a seulement quelques années. Initialement, il faut comprendre que le premier Yakuza est bien sorti chez nous et qu’en plus il a eu le droit à une traduction française. Malheureusement, si le titre affichait déjà de multiples qualités qui serviront de terreau pour les titres suivants, le succès ne fut pas tant au rendez-vous chez nous. De ce fait, les épisodes qui suivirent furent loin d’être les plus mis en avant sur le marché européen et c’est une minorité de joueurs qui a fini par constituer la fanbase de Yakuza dans cette région. Une série qui semblait réserver à ceux qui avaient été conquis par le premier opus ou bien qui parvenait à passer le cap de l’anglais intégral, voire même de la VO pour certains jeux. On peut donc clairement dire que la franchise se présentait comme de niche malgré un potentiel certain et qui s’exprimait déjà dès ses débuts et à travers les ambitions du studio. Malgré tout ça, la licence a continué son bout de chemin au fil du temps, amenant progressivement de plus en plus de joueurs curieux de voir ce qui pouvait bien se cacher derrière cette obscure licence. Jusqu’à finalement un véritable passage de flambeau au sein du studio se trouvant derrière.

Initialement, c’est Amusement Vision qui fut à l’origine de la série. Un studio rattaché à SEGA qui a initié le lancement de la franchise Yakuza jusqu’au quatrième opus en 2010. Finalement, suite à une fusion interne de plusieurs équipes va naître Ryû ga Gotoku Studio, composé de membre-clés d’Amusement Vision et des gens de SEGA Sports Japan. Dirigé par Toshihiro Nagoshi jusqu’à il y a peu, cette équipe va amener un tout nouvel élan à la licence par bien des aspects. Cela commence avec Yakuza 5 qui va proposer l’un des contenus les plus impressionnants qui soit de toute la série. Si l’on peut remarquer déjà une plus grande attirance pour l’ensemble de la franchise, c’est tout ce qui va venir ensuite qui va changer progressivement la donne. En effet, on se rapproche de la conclusion de tout un arc qui aura débuté dès 2005 avec la fin de l’histoire de Kiyru Kazuma. Mais avant d’attaquer son “dernier” chapitre, on a eu le droit à un épisode 0 nous ramenant aux origines du personnage ainsi que d’une autre figure marquante de la série en la personne de Goro Majima. Un opus loin d’être un simple spin-off et qui va se présenter comme une remarquable porte d’entrée à la franchise même si l’on n’a toujours pas eu le droit à une traduction française des sous-titres, un frein considérable pour beaucoup. Dans la foulée, un remake du premier opus baptisé Kiwami va débarquer comme pour servir de nouvelle chance pour ceux n’ayant pas pu tenter l’expérience il y a de ça bien longtemps. Un épisode qui, encore une fois, brille par le soin apporté par le studio pour en faire une véritable amélioration de ce que l’on a pu connaître sur PS2. L’épisode 6 qui suivra sera celui qui viendra mettre un terme à la légende de notre célèbre yakuza pour laisser le champ libre à de nouvelles possibilités. Mais c’est vraiment avec la sortie de Judgment, spin-off de la licence, et surtout Like a Dragon que le nom de Yakuza va briller devant les joueurs. Et comme pour symboliser cette renaissance, cette appellation de la saga s’estompe avec cet opus pour être baptisé “Like a Dragon” pour tous ces futurs épisodes. En proposant une traduction intégrale des textes en français et en offrant deux expériences diamétralement différentes [l’une action-aventure et l’autre JRPG], c’est une page inédite qui s’écrit et qui va interpeller jusqu’ici tous ceux qui n’avaient pas encore franchi le pas.

Une franchise comme aucune autre

Mais qu’est-ce qui fait que la saga Yakuza/Like a Dragon se différencie des autres. Tout d’abord, nous sommes face à une œuvre qui va avant tout nous plonger dans un Japon plus ou moins contemporain et surtout dans le milieu criminel lié à la mafia. Un environnement finalement assez rare et qui va être incroyablement bien retranscrite autant dans ses scénarios, ses décors que ses personnages. A peine lançons-nous une partie que c’est une totale immersion dans cet univers qui nous donne le sentiment de voyager au sein de l’impressionnant quartier de Kamurocho ou des autres régions qui viendront enrichir la licence au fil des épisodes. J’ai souvent pris le risque de comparer ces titres comme étant les héritiers spirituels de Shenmue, car il y a beaucoup de choses qui résonnent entre les deux licences. Que ce soit dans son côté cinématographique, sa mise en avant des arts martiaux et les nombreuses activités possibles à faire en dehors de la trame narrative, les points communs sont là. Cependant, Yakuza a su surpasser ça pour y insuffler sa propre âme qui ne va avoir de cesse d’être renforcée au fur et à mesure des récits que l’on nous raconte. Nous ne sommes pas uniquement face à une œuvre qui cherche à nous divertir et à nous faire passer un bon moment. Il est aussi question de nous partager une vision du Japon autant dans ses bons que ses mauvais côtés. Après tout, la majorité des protagonistes de cette licence sont des gens rattachés au milieu criminel et vont donc nous embarquer dans leur quotidien fait de sang, de larmes et de tragédies. Et là, on touche à quelque chose de très important qui est la principale force, à mes yeux, de Like a Dragon. Il s’agit de son écriture qui n’a absolument rien à envier aux plus grandes sagas que l’on peut connaître.

J’ai parlé un peu plus tôt d’aspect cinématographique et c’est ce qui ressent pleinement dans chaque aventure composant cette série. On peut citer la mise en scène, les chorégraphies de combat, le jeu d’acteur et les intrigues racontées comme s’inspirant grandement de ce que le cinéma a pu offrir depuis ses débuts, notamment au Japon et en Asie de façon plus générale. Nous n’avons pas uniquement l’impression de jouer à un jeu, mais de vivre une histoire qui transcende son medium pour nous faire passer par bon nombre d’émotions. D’ailleurs, ce qui est aussi très fort dans cette saga, c’est qu’elle s’axe toujours au sein du même univers avec, tout de même, pas moins de sept épisodes centrés pleinement sur Kiryu et qui ont donc permis de façonner totalement la légende de ce dernier. Et aujourd’hui, c’est ce qui est aussi en train de se passer pour Ichiban, la nouvelle figure centrale qui prend la succession du Dragon de Dojima. Il est très rare que des sagas arrivent à perdurer sur autant d’épisodes et surtout autour des mêmes protagonistes ou décors. Et pourtant, chaque opus est l’occasion de retrouver tout ce qui fait le charme de cette aventure qui sonne comme des retrouvailles avec de vieux amis avec qui l’on a tant partagé. Si cela est vrai pour les nombreux dangers et épopées qu’ils ont pu vivre, il y a aussi tout ce qui est à côté. Je parle ici des activités annexes qui sont si nombreuses et qui ne sont pas forcément du copier-coller d’un titre à l’autre. Entre la salle d’arcade, les jeux de société, le batting center et autres mini-jeux propres à chaque opus, on ne voit pas le temps qui passe. Yakuza ce n’est pas uniquement une licence qui brille par son écriture. C’est aussi une franchise qui nous invite tout bonnement à visiter et apprécier tout ce que ces zones ont à offrir même s’il s’agit de plaisirs simples.

Une oeuvre ayant le potentiel pour devenir un monument

Quand je parle de monument, il est vrai que l’on pense à des jeux qui ont marqué durablement l’industrie. S’il y a énormément de qualités autour de Like a Dragon, il ne faut pas oublier qu’il s’agissait avant tout d’une licence de niche et que ce n’est que récemment qu’elle a pris son envol. Mais quand je parle d’un tel statut, c’est surtout pour ce qu’elle arrive à transmettre. Le jeu vidéo n’est pas uniquement un divertissement où le joueur est acteur d’une histoire. Cela peut aussi être une formidable toile pour peindre des aventures qui vont nous transmettre énormément de choses, parler de sujets bien réels et nous faire grandir une fois que l’on repose la manette. Yakuza en est, pour moi, un très bon exemple, car cela fait partie de ces séries vidéoludiques qui transmettent bien plus que le simple désir d’amuser. A travers les péripéties de ses personnages, le studio veut nous partager une grande partie de la culture du Japon, que ce soit plus ou moins dans l’ère du temps avec la série principale, que dans son histoire avec des épisodes comme Ishin. On apprend énormément sur ce qui peut rythmer la vie des habitants et pas uniquement de ces mafieux qui croisent notre route. On nous transmet cette incroyable excentricité qui existe au sein de ce pays à travers des quêtes loufoques et qui donnent le sourire. Mais à côté, on va aussi nous parler de l’histoire des yakuzas, de leur ascension à leur disparition progressive. De même, on va aussi aborder des problématiques de société comme c’est le cas dans les spin-offs Judgment et Lost Judgment. On y observe la question du vieillissement de la population, du harcèlement scolaire et de tout ce qui découle de tels thèmes. Les traditions toujours ancrées dans la vie de tous les jours, la vitesse folle de l’évolution technologique et les notions de famille et d’amour sont aussi de la partie.

Dans un sens, la saga Yakuza/Like a Dragon est un formidable témoignage du Japon, de son évolution, de ses problèmes, mais aussi de sa beauté. Si l’on est concentré sur le destin des personnages que l’on rencontre, on va aussi s’émerveiller de ces lieux que l’on visite et qui sont un véritable dépaysement. Sans même bouger de chez nous, on a le sentiment d’être là-bas et d’admirer les incroyables paysages que l’on peut nous délivrer. Si pendant longtemps la saga a focalisé son action sur Kamurocho, elle a su s’affranchir de ces limites pour nous emmener en dehors de cette jungle urbaine qui ne dort jamais. On va ainsi partir vers des campagnes où le calme ambiant nous permet d’apprécier une pause salvatrice. Des régions qui reflètent la diversité du pays qui peut autant être incroyablement dynamique que reposante en fonction de là où on est. Nous ne sommes pas uniquement face à un jeu, mais face à une invitation pour voyager, apprendre et s’imprégner de cette culture qui nous intéresse tant. Dans un sens, on peut même dire qu’il y a un côté patrimoine à cette saga qui la rend encore plus précieuse tant elle frappe juste sur de nombreux tableaux. Le studio ne cherche pas à embellir ou descendre ce dont les développeurs peuvent être témoins au quotidien. Ils délivrent juste leur réalité à travers le regard de figures emblématiques et exceptionnelles. Voilà une succession d’œuvres qui change, évolue et grandit en même temps que cette terre natale où elle a vu le jour. Et pour avoir réussi un tel exploit, les gens derrière cette grande fresque sont remarquables et l’on ne peut qu’être admiratif devant tout le travail abattu pour arriver à ce résultat.

Yakuza Kiwami

Yakuza et ses personnages inoubliables

Si j’ai déjà pu évoquer pas mal de points faisant la force de cette saga, il y en a encore un que je n’ai abordé qu’en surface. Tandis que l’on est emporté par ces histoires grandioses et ébloui par cet environnement que l’on explore, Yakuza ne serait rien sans ses protagonistes qui ont façonné sa légende. J’ai pu évoquer un peu plus tôt à quel point Kiryu est un héros qui est profondément ancré dans l’ADN de cette franchise. Un personnage qui aura vu son histoire personnelle s’étaler sur tant d’épisodes et construire l’un des développements les plus longs, touchants et réussis du paysage vidéoludique. On voit le jeune yakuza qu’il était initialement écrire sa légende dans ce milieu et devenir l’une des figures les plus iconiques du clan Tojo et de tout ce qui se construira autour de son nom. Mais surtout, on voit un combattant qui brillait initialement par son impressionnante force devenir un homme pour lequel on a le plus grand respect. Il endure tellement de choses et apprend ce que c’est que l’amour, la famille et l’amitié tout au long des épreuves qu’il traverse. Yakuza, c’est avant tout un voyage que l’on fait en compagnie de cet homme avec lequel on grandit à chaque nouvel opus. Mais s’il est celui par où tout a commencé, le reste du casting n’a rien à lui envier. Il suffit de voir Kasuga, héros de la franchise à partir de Like a Dragon, qui a déjà su conquérir bon nombre de joueurs tout en arrivant à s’extirper de l’ombre de son prédécesseur. Avec son caractère bien plus enjoué, son petit brin de folie et cette honnêteté qui le caractérise, il offre une toute autre approche de cette grande aventure. Un héros qui fédère là où Kiryu, s’il avait des alliés, à avancer le plus souvent par la seule force de ses poings. On peut alors dire que le passage de flambeau est réussi et qu’il va prendre pleinement son sens à travers Infinite Wealth.

Mais la licence ne s’arrête pas là et va être le reflet de la capacité du studio à créer des personnages que l’on a envie de suivre. On peut citer Yagami, héros de la série des Judgment, qui nous emmène dans un tout autre registre du fait de son statut d’ancien avocat et de détective. De même, les titres n’ont eu de cesse d’agrandir la scène pour qu’elle puisse mettre en avant toujours plus d’individus marquants. C’est exactement le cas par exemple pour Majima qui était initialement un ennemi de Kiryu et qui, au fur et à mesure, est devenu un rival, un allié et même un héros partageant l’affiche avec le Dragon de Dojima. Sans compter les nombreuses autres figures récurrentes de la franchise qui ont tous eu le droit à leur moment de gloire, mise en avant et enrichissement de leur écriture. Certains ont pu être jouables dans quelques épisodes tandis que d’autres ont largement su nous convaincre sans même qu’on puisse être aux commandes. Et là, on touche à quelque chose d’encore plus important pour souligner la capacité de cette licence à perdurer. Il est vrai que Yakuza ou Like a Dragon sont des titres qui ont des visages bien précis qui leur sont liés. Pourtant, il y a tellement de personnages réussis et captivants qui composent cet univers que l’on pourrait très bien avoir des tas d’histoires à raconter autour de ces derniers. Pour Ryû ga Gotoku, même des figurants ont le potentiel d’aller sous la lumière un beau jour. Ce qui fait que chaque acteur et actrice de cette grande épopée est travaillé de manière à ce qu’il ne soit pas uniquement un PNJ que l’on va croiser au détour d’une mission. Ils vont tous apporter leur pierre à l’édifice et laisser leur empreinte dans l’esprit du joueur. Cette franchise n’est pas uniquement endossée par une seule figure, mais est plutôt porteuse d’un état d’esprit permettant à n’importe qui de devenir le prochain héros. Kiryu était le patriarche de cette saga et il a progressivement construit sa propre famille en transmettant sa volonté aux autres personnages. C’est maintenant au tour d’Ichiban, Yagami et qui sait, peut être un autre protagoniste dans l’avenir. Tout est possible et cela contribue à la beauté de cette saga vidéoludique.

Une longue série qui ne fait pourtant que débuter

Je me suis déjà beaucoup étalé sur le sujet, mais j’avais tellement envie d’aborder le cas de cette licence que je ne pouvais m’arrêter à seulement quelques lignes. Et surtout, je tenais à souligner une chose importante. Yakuza/Like a Dragon est le parfait exemple d’une série capable de se renouveler constamment. Ce n’est pas forcément par une refonte totale de son gameplay ou bien des changements drastiques, mais des éléments suffisants pour que chaque opus soit unique. Et surtout, le studio a parfaitement su trouver le bon moment pour tourner une page importante de cette odyssée non pas pour la conclure, mais tout bonnement pour entamer un nouveau chapitre. Et c’est pour ça que je dis que le meilleur est encore à venir étant donné que c’est un second départ qui commence. Sans jamais renier ou oublier l’héritage qui s’est créé depuis 2005, Ryû ga Gotoku a au contraire construit sur chaque nouvelle fondation apportée par les précédents opus. Un travail remarquable qui n’a de cesse de m’éblouir à chaque virée que je fais dans l’une de leurs productions. On pourrait encore décortiquer pendant des heures tout ce qui nourrit cet univers et les âmes qui y vivent, mais il est grand temps de refermer cette chronique. Je finirais donc simplement avec le ressenti personnel que j’ai pour ces titres. J’ai eu la chance de commencer le périple de Kiryu avec le tout premier épisode qui est sorti sur PS2. Une découverte qui allait me marquer profondément et dont l’attachement que j’ai pour cette franchise n’a fait que grandir avec le temps.

Très souvent, on est content d’apprécier une œuvre qui n’est pas forcément connue, car cela donne un sentiment de quasi appropriation pour une aventure qui nous semble réservée. Pourtant, je n’ai jamais été aussi heureux que de voir, au fil des années et des épisodes, de plus en plus de gens parler de Kiryu, Goro et les autres membres du clan Tojo. Et ce fut encore plus fantastique avec Like a Dragon quand tout le monde a pu se jeter dessus et apprécier toutes les qualités de cette saga. Si j’ai grandi avec le Dragon de Dojima et que j’ai déjà été profondément bouleversé par son histoire, il y a un pur bonheur que de voir toute une nouvelle vague de joueurs reprendre le flambeau en compagnie de Ichiban. On les accompagne et l’on partage maintenant la même passion pour ces épopées qui n’ont absolument rien à envier aux autres grandes productions de l’industrie. N’hésitez pas à vous lancer dans ce périple qui peut totalement commencer avec Like a Dragon. Avec cette série, il n’y a aucune mauvaise porte d’entrée et chacun est libre de l’apprécier à travers l’histoire des personnages qu’il aura choisi de suivre. Juste un grand merci à toute cette équipe ayant donné vie à cette œuvre qui est l’une de mes préférées et la joie est totale de voir tout leur travail être mis sur le devant de la scène. C’est la fin de ce très long dossier qui, je l’espère, vous aura donné envie de découvrir Yakuza. N’hésitez pas à me dire dans les commentaires si vous appréciez cette licence et si vous l’avez découverte à travers les premiers opus, les spin-offs ou bien les derniers épisodes en date.

Ichiban - Like a Dragon

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